Le Crédit Agricole est très prévenant avec le Groupe Mercier

Du métier d’agriculteur à celui de viticulteur, de chercheur et de créateur de plants de vigne, l’entreprise familiale Mercier s’étoffe, innove et exporte. Elle a créé, en 1984, un laboratoire de recherches, développé un savoir-faire d’une grande qualité sanitaire : le génome d’un plant de vigne est décortiqué pour le rendre à la fois plus productif et plus résistant, indemne de toute maladie. Cette technique a donné à Mercier vingt ans d’avance sur les concurrents. L’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement lui a confié le rôle de certificateur et de multiplicateur national. Mercier est donc le seul pépiniériste viticole privé en France à pouvoir créer une variété (le Nathy-Sauvignac par exemple), avec un cycle de production accéléré, entre dix et quinze ans et non plus vingt ans !

Produire plus vite, s’adapter à la demande, maîtriser l’état sanitaire, optimiser les processus, les enjeux sont de taille pour être un expert en ressources génétiques. A la recherche de leviers de croissance et dans un cadre de crise viticole et de baisse de la consommation de vin dans le monde notamment, la société s’est tournée il y a deux ans vers la Caisse Atlantique Vendée qui lui a soumis un projet de syndication. En reprenant les prêts en cours, émanant de différents établissements, la Caisse régionale a pris la main sur le pool bancaire. « La dette a été étalée et de nouvelles enveloppes de financement ont été créées dont, parmi celles-ci, la nécessité de rénover l’outil de production, notamment les bâtiments », explique Thierry Grolleau, chargé d’affaires entreprises. Alors que l’entreprise s’est concentrée sur son développement économique et technologique, certains bâtiments de production originels sont restés vétustes et se trouvaient assurés par la Lyods avec des surprimes et des franchises élevées, pour des dirigeants insatisfaits.

Une relation de confiance

Dans ce contexte, la chargée d’affaires assurances entreprises, le souscripteur et l’ingénieur prévention CA Assurances (Pacifica) effectuent une première visite, en juin 2023. A l’issue, l’ingénieur prévention remet un audit et un plan de prévention. « Très pédagogue, il a fait prendre conscience au dirigeant du cheminement à parcourir pour que l’entreprise soit correctement assurée en France tout en donnant les clefs pour l’être », témoigne Hélène Desnoyer, chargée d’affaires assurances entreprises. Les deux parties réciproquement convaincues coconstruisent une relation nourrie par des contacts réguliers. Un an plus tard, force est de constater que les investissements très conséquents réalisés par le client déterminé contribuent à la mise en conformité des bâtiments. CA Assurances remet ainsi une proposition au client et l’entreprise Mercier souscrit un contrat d’assurance dommages aux biens et pertes d’exploitation, le 1^er octobre 2024.

Un plan de prévention progressif

Prévention des risques incendies, sécurisation du stockage des produits dangereux et inflammables, mise en conformité au référentiel assureur de l’isolation des chambres froides, remplacement de machines spécifiques par du matériel plus récent, amélioration de l’implantation des zones de charges… L’entreprise Mercier bénéficie désormais d’un dispositif complet de prévention et protection qui répond parfaitement aux exigences de son activité, assurant ainsi la pérennité et la sécurité de ses opérations. Son dirigeant exprime sa satisfaction tant par l’offre que par les conseils dont il bénéficie : « Je suis satisfait de la compréhension des particularités de notre métier et de notre entreprise par un travail d’écoute, de proximité et d’échange entre les collaborateurs de Pacifica et du Crédit Agricole avec le Groupe Mercier ». « L’offre assurance entreprises de CA Assurances est récente : cinq ans. C’est un dossier hors normes qui nous aide également à progresser, conclut Hélène Desnoyer. Une relation pleine de réciprocité pour avancer dans le bon sens.