Le Crédit Agricole s’engage aux côtés de France Parkinson

Le Crédit Agricole est un acteur engagé dans l’accompagnement des grands défis sociétaux, notamment ceux liés à la santé. À travers Crédit Agricole Assurances, Crédit Agricole Franche-Comté et la fondation Solidarités Crédit Agricole Centre-est, le Groupe s’engage à allouer un million d’euros sur cinq ans pour accélérer la recherche, soutenir les personnes malades et leurs proches, et sensibiliser le grand public.

La maladie de Parkinson est la maladie du cerveau ayant la croissance la plus rapide au monde. Ces dernières décennies, elle a en effet connu la progression la plus forte avec une hausse estimée à 274 % entre 1990 et 2021 (intégrant les anciens et nouveaux cas). Le nombre de personnes touchées est ainsi passé de 3,15 à 11,8 millions. Et il devrait encore plus que doubler d’ici à 2050 pour atteindre 25,2 millions. En France, 270 000 personnes sont déjà concernées, et en raison du vieillissement de la population, le nombre de malades pourrait même tripler dans les vingt-cinq ans. Malgré des décennies de recherche, la progression de la maladie reste un défi.

Franche-Comté et Centre-est engagées 

Deux Caisses régionales se sont d’ores et déjà engagées dans ce partenariat : la Caisse régionale de Franche-Comté et celle de Centre-est, par le biais de sa fondation Solidarités. Leur soutien pluriannuel contribuera d’une part au financement des volets régionaux du programme de recherche NS-PARK master trial (la première plateforme d’essai clinique en France permettant de tester plusieurs candidats-médicaments pour ralentir la progression de la maladie et accélérer leur évaluation), d’autre part à la mise en place d’actions locales en faveur des malades et de leurs proches.

Ces Caisses régionales, en collaboration avec les comités départementaux de France Parkinson, utilisent leur connaissance des territoires pour sensibiliser les populations locales et développer des dispositifs visant à améliorer le quotidien des personnes malades et de leur entourage. Elles favorisent également un accompagnement de proximité adapté aux besoins spécifiques à chaque stade de la maladie :

• Soutien à la recherche locale en lien avec les Centres Hospitaliers Universitaires,

• Mise en place de « Cafés Jeunes Parkinson » : des temps d’échanges et de partage d’expériences dédiés aux patients en âge de travailler, pour briser l’isolement et les accompagner dans cette nouvelle réalité,

• Journées d’information et de sensibilisation du public pour une meilleure connaissance des symptômes et une prise en charge précoce,

• Prise en charge de programmes d’accompagnement ainsi que d’activités physiques adaptées, pour préserver l’autonomie, la motricité et le bien-être psychologique,

• Organisation d’ateliers pratiques à destination des aidants familiaux pour les former aux gestes du quotidien et aux aides techniques.

Lire le communiqué de presse